Le Premier ministre a immédiatement réagi en déclarant : « Je n’ai jamais affirmé que les fonds politiques étaient « haram »… », en réponse à l’interpellation du député Thierno Alassane Sall, qui l’avait questionné sur la situation économique du pays, la rationalisation des dépenses, et la suppression des agences, entre autres. Le chef du gouvernement a pris le temps de s’expliquer, de présenter sa version des faits et a invité Thierno Alassane Sall à faire preuve de discernement : « Parfois, il faut savoir applaudir et reconnaître que c’est positif… », a ajouté Ousmane Sonko, qui répondait, aux côtés de son gouvernement, aux questions des députés.