Starisé au Sénégal, Juan Branco est dans de sales draps. En France, il doit avoir faire face à des accusations infamantes de viol. Le journal français Libération est revenu en long et large sur cette affaire dans un papier fleuve. D’après le quotidien, l’avocat a été mis en examen triplement une première fois en novembre 2021 et puis deux fois en juin 2023. 4 femmes l’auraient accusé de viol ou de violences sexuelles, même si la quatrième femme ne souhaite pas saisir la justice pour le moment. Dans son papier, l’un des plaignantes parle d’intimidation, d’humiliation. « On n’est jamais préparée à vivre un tel viol. C’est terrifiant de voir quelqu’un que vous avez idolâtré pendant des années se transformer en prédateur sexuel », se confie Marie à Libé. Louise, une autre victime supposée, enchaîne : « J’ai refait le calcul de ce que j’avais bu, cela n’expliquait pas mon black-out. A ce moment-là, j’ai pensé qu’un mec avait mis un truc dans le verre. Je crois que c’était lui. » « J’ai esquivé ses baisers, puis il a commencé à vriller…», ajoute une victime. Libération a essayé d’avoir sa version des faits. Il a dit à sa communauté : «Jamais, une telle agglomération de pouvoirs ne s’était réunie en France pour abattre un avocat.» Il le sait, car il risque la radiation s’il est condamné pour ces viols et agressions sexuelles supposées. Avocat d’Ousmane Sonko, le Français a été adulé par les militants de Pastef à cause de ses positions jusqu’au-boutiste sur le Président Sall et des responsables de son régime qu’il a voulu traîner devant la Cour pénale internationale. Expulsé et interdit d’entrer sur le territoire sénégalais, il avait défié l’Etat avant d’être arrêté vers la frontière sénégalo-mauritanienne et inculpé par le juge. Puis, il a été expulsé du pays après son inculpation.

































